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quelques petit témoignage interessant sur les anges et leurs signes

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Message par cleopatre2b Mer 16 Juil - 23:50

Nos Anges au quotidien ...

Au-delà de ces rencontres exceptionnelles, les manifestations de nos Anges gardiens sont si nombreuses, que nous oublions trop souvent de les reconnaître, appelant "chance" ou "hasard" ces doux gestes de protection de nos guides célestes.
Un ouvrage paru en 1997 aux Editions Bénédictines rassemble des témoignages de celles et ceux qui ont reconnu, en ces sauvetages miraculeux, la présence et l'intervention de leur Compagnon. Cet ouvrage a pour titre "Le Ciel parmi nous". En voici quelques extraits :

Dérapage contrôlé
Je suis au volant de ma voiture sur une route de Normandie, sous une pluie battante. En compagnie de mon fils de douze ans, je viens de quitter l'autoroute de Paris. A l'approche d'un carrefour balisé par des feux, je me retrouve derrière une grosse caravane, à quinze mètres devant moi. Le feu passe au rouge. En freinant, la caravane dégage des trombes d'eau. J'ai le réflexe de ne pas freiner à mon tour. La nappe d'eau s'engouffre sous mon véhicule qui se met à glisser. La route est étroite. En face, arrive une autre caravane qui occupe la largeur de la voie de gauche. Pas de place pour me glisser entre les deux caravanes et éviter l'accident.
Je parviens seulement à formuler intérieurement : "Les anges, les anges, au secours !" Les mains à peine posées sur le volant de peur d'une fausse manoeuvre, je n'ai plus aucun contrôle de la voiture, ni de la situation. Le choc est inévitable. Et pourtant ... le temps de retenir mon souffle et je me retrouve en douceur à l'arrêt devant la caravane responsable de l'aquaplaning et derrière deux autres voitures immobiles au feu. Ni appel de phare, ni coup de klaxon, aucune réaction des autres véhicules, comme s'il ne s'était rien passé.
J'ai eu le sentiment de vivre comme dans un flash, hors du temps et de l'espace. Même impression pour mon fils qui s'exclame "Maman, c'est un miracle !"
Dominique Marron

L'ange souffleur
Jean-Philippe doit se présenter à l'oral du baccalauréat. Immobilisé durant plusieurs mois à la suite d'un accident de scooter, il doute vraiment de réussir cet examen. La veille, Annie, sa maman, lui suggère de relire quelques chapitres de géographie. Excédé, Jean-Philippe lui répond : "Que veux-tu donc que je révise encore ?" Vite, Annie prie son ange gardien de l'inspirer et dit : "Le Japon." De mauvaise grâce, son fils ouvre le livre et relit le chapitre en question.
Le lendemain, il se présente dans la salle d'examen, sans se faire trop d'illusions. Mais quelle n'est pas sa surprise quand le sujet que lui propose l'examinateur est précisément ... le Japon !
Annie Gross, via Alma

Rencontre
Bruno, c'était un dur ! Les 400 coups, la prison, une femme et trois enfants qu'il terrorisait et battait car il était alcoolique. "Pourtant, je les aimais, mais c'était plus fort que moi..." précise-t-il. Un jour, désespéré, ivre mort, il descend dans une station de métro, avec la ferme intention d'en finir. Sur le point de se jeter sous la rame, il s'assure que l'endroit est bien désert. Il l'est. Il hésite une deuxième fois. Il jette à nouveau un regard circulaire. Et découvre alors un homme qui n'était pas là une seconde plus tôt. L'inconnu, en haillons, est assis sur un banc. "Je me sens irrésistiblement attiré et je m'approche de lui. Pourtant, je suis toujours aussi saoul et, habituellement, rien ne peut me sortir de cet état-là." Arrivé à sa hauteur, l'inconnu lève la tête et le regarde droit dans les yeux. "Je n'ai jamais vu des yeux pareils. Jamais aucun homme ne m'a regardé de cette façon." Il ressent ausitôt une force et un amour inouï émaner de cet inconnu, précisément pour lui. Bruno se retrouve en larmes et à genoux, à ses pieds. L'inconnu pose alors les mains sur sa tête. "Je me suis senti regonflé comme un pneu avec une pompe à vélo !" Bruno perd la notion du temps. Il est en paix, joyeux et complètement dessoulé. Mais quand il relève la tête, plus personne... Quelques jours plus tard, il renonce à l'alcool et à toute violence.

Extraits de "Le Ciel parmi nous", 1997, © Editions Bénédictines, Rue E. Guinnepain - 36170 Saint-Benoît-du-Sault - France

Témoignage d'Evelyne


Le mardi 5 décembre 2000, je lisais ce livre sur les anges : 'Enquête sur l'existence des Anges gardiens' de Pierre Jovanovic...

Le verre cassé

Il était un peu tard, 23 heures peut-être, Mike, mon mari, avait déjà éteint sa lampe de chevet et s'était déjà assoupi, tout était calme, quand soudain, nous avons entendu un bruit d'explosion. Mike s'est réveillé étonné pour essayer de comprendre ce qui s'était passé, quand j'ai remarqué que mon verre d'eau (que j'amène tous les soirs près de moi, sur ma table de nuit) avait littéralement explosé (en fait, implosé).

Nous étions très surpris et aussi inquiets, Mike m'a demandé si j'avais eu à ce moment-là certaines pensées par rapport à mon livre, par rapport auquel il avait remarqué mon enthousiasme, car pour la première fois de ma vie, j'étais plongée dans ce livre sur les anges gardiens que j'avais heureusement pu emprunter à ma sœur (qu'elle-même d'ailleurs avait plusieurs années auparavant emprunté à notre mère). Il s'agissait du livre de Pierre Jovanovic 'Enquête sur l'existence des anges gardiens'. Heureusement, car vivant en Hollande près d'Amsterdam, j'avais été appelée à traduire du hollandais en français un nouveau site internet www.anke-de-graaf.nl concernant les guides ou anges gardiens pour une amie (d'abord connue en tant qu'élève à qui je donnais des cours de conversations de français), et voulant m'éviter toute erreur de terme ou de langage, je m'étais plongée dans ce livre avec l'âme d'un professionnel afin de pouvoir bien accomplir ma 'mission'. Je dois dire que j'ai été immédiatement passionnée par ce livre merveilleux, qui fut en fait pour moi le premier d'une longue série !

A la demande de mon mari à ce moment-là au sujet de certaines pensées que j'aurai pu avoir concernant la lecture de ce livre, j'ai répondu "non, pas spécialement" tout en ressentant qu'il aurait bien pu y avoir un rapport mais sans savoir lequel exactement ; il s'est vite rendormi, en partie pour ne pas avoir à se pencher davantage sur ce mystère qui le déroutait quelque peu, et moi inquiète, je me demandais si j'allais reprendre ma lecture ou non, mais trop choquée pour pouvoir dormir, j'ai décidé de lire quelques pages avant d'éteindre la lumière.

La page suivante était la page 52, un sujet qui n'avait pas été traité auparavant dans le dit livre (ce qui dénote que je n'ai pu subir aucune influence, ce qui n'aurait peut-être pas été le cas si la lecture avait eu lieu avant l'évènement ci-dessus cité) dont voici le texte :


" Visions avant le dernier soupir.
Des anges dans les escaliers.

Patient souffrant d'une tuberculose pulmonaire à ses derniers moments. Témoignage de l'infirmière de l'hôpital recueilli par Osis et Haralsson (Page 76 du livre 'Ce qu'ils ont vu au seuil de la mort', Osis & Haraldsson, Ed. du Rocher, 1982) au cours de leur enquête :

" Il (le patient) n'était sous l'effet d'aucun calmant. Il était tout à fait lucide et n'avait pas de fièvre. Il faisait preuve d'une grande ferveur religieuse et croyait à la survie de l'âme. Nous savions qu'il allait mourir et il le savait sans doute aussi car il nous demandait de prier pour lui. Dans la chambre où il reposait se trouvait un escalier qui menait à l'étage. Soudain il s'écria :
- Regardez, les Anges descendent l'escalier.
Le verre est tombé et s'est brisé.
Toutes les personnes présentes se tournèrent vers l'escalier. On avait effectivement posé sur l'une des marches un verre que nous vîmes éclater en mille morceaux, sans aucune raison apparente. Il ne tomba pas, il éclata tout simplement. Naturellement, nous n'aperçûmes pas les Anges. Une expression de bonheur et de quiétude se peignit sur les traits du patient qui rendit alors son dernier soupir. Même après sa mort, l'expression de quiétude et de sérénité demeura sur son visage. "

Il est effectivement intéressant de noter que cette vision est corroborée par un phénomène matériel, un verre posé sur l'escalier, descendu par les Anges d'après le sujet, et qui implose sans aucune raison apparente. Le verre ne tombe pas. "
Depuis, j'ai eu d'autres signes très spécifiques, et alors que je me trouvais dans une impasse, vivant à l'étranger et ayant des questions sans réponses jusqu'alors, je remarque que de nouveaux objectifs s'ouvrent à moi.

Evelyne


Elisabeth Kübler-Ross


Entretien avec le Dr Marino Parodi, extrait de Stella Maris – Editions du Parvis – n°380 – avril 2002

« Vous-même, avez une très grande dévotion envers la Vierge Marie n'est-ce pas ? »
« Oui. Depuis quarante ans, je m'occupe du trépas, et depuis quarante ans je touche du doigt les merveilles que la Reine de l'Amour opère pour nous qui sommes encore sur cette terre, et pour ceux qui sont déjà au Ciel. J'ai une relation privilégiée et excellente avec elle ; nous dialoguons tout au long du jour... »
« Si je ne me trompe, vous avez aussi une grande dévotion envers les Anges ? »
« Oui, j'ai aussi touché du doigt leur présence et leurs oeuvres. Chacun de nous a son ange gardien, constamment à ses côtés. Il dépend de nous d'apprendre à le suivre et à l'écouter. Je suis en contact permanent avec les Anges ; ils m'aident, me conseillent, m'instruisent, m'assistent. C'est merveilleux de percevoir tout cela... Il suffit d'écouter les enfants avant qu'ils ne s'endorment : ils font de grandes conversations avec leurs anges... pour eux, c'est tout naturel. Mais généralement, les adultes cherchent à les dissuader : "Ça suffit ! Il ne faut pas croire à ces sottises !" Beaucoup perdent ainsi le contact avec leur ange gardien... Et quand on pense que Jésus nous exhorte à devenir semblables à de petits enfants ! »
« Ainsi, vous avez reçu beaucoup d'enseignements de la part des anges ? »
« Oui, beaucoup : je dialogue avec eux, comme si nous agissions, eux et moi, pendant des heures. Je pourrais vous parler pendant des années, sans pour autant vous révéler le millième de ce qu'ils m'ont enseigné. J'ai même assisté à des matérialisations d'anges, don assez rare. »
« Vous avez écrit être infiniment reconnaissante à Dieu pour la vie qu'Il vous a donnée. Quel est le secret d'une vie intense et spirituellement riche comme la vôtre ? »
« Avant tout, la prière. Je prie continuellement, à tout moment, à chaque instant de la journée. Pour moi, toute la vie est une prière ; on peut être tout proche de Dieu dans son jardin, aussi bien que dans une église. II faut le demander à Dieu. On obtient toujours de Dieu ce dont on a besoin, mais pas toujours ce que l'on voudrait.
Autre point essentiel : accepter la souffrance comme don de Dieu. La souffrance, c'est comme le Grand Canyon. On se dit "II est si beau qu'il faudrait le protéger du vent et de la tempête." Pourtant, si Dieu n'avait pas créé le vent ni la tempête, le Grand Canyon n'aurait jamais pu être sculpté aussi magnifiquement et il n'aurait pas été possible d'admirer sa beauté. Le Christ a souffert sur la croix pour ressusciter ensuite. On ne grandit pas sans la souffrance. »
« Puis-je vous poser une dernière question, docteur Kübler Ross ? Vous qui avez consacré tant d'années de votre vie au phénomène "mort" ; comment vous préparez-vous à votre propre mort ? »
« J'ai hâte qu'elle vienne ! Dieu nous a préparé là-haut des merveilles et une joie inimaginable ! La vie ici-bas n'est qu'une préparation, une école pour à aller vers Dieu et le prochain. C'est là le but. »

Pour en savoir plus sur Elisabeth Kübler-Ross :
Association Elisabeth Kübler-Ross :
http://ekr.france.free.fr/
Voir aussi l'entretien réalisé par «Construire» aux Etats-Unis :
http://www.construire.ch/SOMMAIRE/9816/16kubler.htm


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Message par cleopatre2b Mer 16 Juil - 23:51

Témoignage de Suzanne Lussier


Une petite histoire vécue, il y a bien des années. Je vous la raconte :

J'avais terminé un livre sur "Les Anges, agents secrets de Dieu". Dans ma chambre, il y avait toujours eu l'image d'un ange protégeant un enfant. Ma mère y croyait sans doute et nous aussi, je présume, sans plus.
Toujours est-il qu'un soir ma soeur m'appelle et je la sens vraiment dans un état de panique totale, et à vrai dire elle me semble "un peu déséquilibrée". Elle s'était amusée un peu avec des planches "ouija" et je me disais que ça l'avait peut-être ébranlée (quoi que ma soeur n'était pas du style facilement ébranlable). Mais ce soir-là, elle semble effrayée, apeurée et son discours est incohérent.
Ce soir là, je me couche et je pense à ma soeur. Et je prie intérieurement, et je ne me rappelle pas avoir prié aussi intensément en disant :
- Ecoutez, si c'est vraiment vrai que les anges existent, je vous en prie, allez secourir ma soeur. Je vous en prie. Je ne veux pas qu'elle soit seule comme mon autre soeur qui est décédée.
Et je me suis endormie blottie dans les bras de Dieu, très consciente de ma demande aux Anges.

Le lendemain, j'appelle ma soeur et je lui demande comment elle va.
Elle semble très calme, posée. Elle me dit :
- Très bien. Suzanne, qu'est-ce que t'as fait hier après que tu m'aies appelée ?
Je lui dis :
- Rien. J'ai rien fait.
Elle me dit :
- Tu as fait quelque chose. Ecoute, tout de suite après que tu m'aies parlé, dans la soirée, j'ai senti un grand sentiment de protection m'envahir et c'est comme si toute la maison, tout le ciel avait été éclairé d'une lumière qui me gardait, me protégeait.
J'en aurais pleuré de joie. Ah, mon Dieu, merci les Anges.
Et je dis à ma soeur :
- J'ai prié très fort et j'ai demandé qu'on te protège.

A chaque fois que j'ai repensé à cette histoire, j'en avais la chair de poule.

Mais je reste émerveillée de cette toute puissance divine, de l'aide des Anges et ma soeur a grandement cheminé aussi dans cette voie.

Plus tard, elle a voyagé un peu. Et parfois disait-elle quand je me sentais en danger, je les appelais. Et à plusieurs reprises, des gens lui ont dit : "il y avait plein de lumière autour de toi, et on aurait dit que tu avais des gardiens". Elle souriait disant qu'elle les avait toujours avec elle.

Suzanne Lussier (Canada).


Témoignage de Guy Lafrenière


Voici un cas très particulier :

Les deux dernières semaines de juillet, nous passions nos vacances au lac Du Cerf, dans nos Laurentides au Québec. Et notre petite fille, Louise, âgée de 9 ans, était en vacances elle aussi au Lac Nominaigue, également dans les Laurentides. L'endroit est très sécuritaire, le lac étant peu profond au bord de la plage. Elles étaient environ 25 jeunes filles accompagnées de monitrices, la plupart des maîtresses appartenant à son couvent où elle était pensionnaire. On n'avait donc aucune crainte pour sa sécurité.

Le 31 juillet 1957 (il y a 45 ans presque jour pour jour) on se baladait en chaloupe sur le lac, non loin du rivage. C'était vers 19 heures, et le ciel était de toute beauté. De gros cumulus reflétant le soleil semblaient être de grosses montagnes, comme de l'ouate.
Nous tournons notre regard sur la rive, et nous voyons un prêtre qui nous fait signe de la main, de venir le voir.
En l'abordant, il nous dit, le cœur navré, que notre petite fille avait eu un accident, mais de ne pas s'affoler, rien de grave. Mon épouse rassurée resta au camp et moi la police provinciale m'accompagna. En route, le policier me dit à voix basse que ma petite fille était morte, déjà depuis deux jours.

Les journaux à l'époque écrivaient en première page qu'ils recherchaient les parents de la victime, tuée par un homme, 54 ans environ, pour délit de fuite.

Enfin, on arriva chez – disons - un dépanneur, à Belle Rive…. ma petite fille gisait là, à l'arrière du restaurant, et c'était une journée assez chaude. La mort avait légèrement commencé son œuvre. La morgue, venant de Montréal, m'amena avec ma petite fille, couchée à l'arrière du camion. J'entendais les secousses du camion et le bruit que faisait ma petite, son corps étant rigide par la mort. Ouf ! Quel supplice pour moi !
On l'amena au salon mortuaire, tandis que moi j'accourais à la maison, laver sa belle petite robe de sa première communion. Il était vers 3 heures du matin. C'est toute une épreuve pour le père, vous savez !
Louise était très belle vêtue dans sa robe de première communion, dans son petit cercueil. Un jour je remarquai qu'une larme coulait sous ses paupières… peut-être le chagrin de nous avoir quittés. On essuya cette larme avec beaucoup de tendresse.

Comment est arrivé ce drame ? Voilà : Il était de coutume vers la fin de l'après-midi, que les jeunes filles aillent porter une lettre à la poste à leurs parents. Elles marchaient, à la file indienne, au bord de la route, route qui était bien droite en cet endroit. Alors, survint une auto. Les monitrices ont averti les jeunes de se ranger pour laisser passer l'auto.
L'homme qui la conduisait était complètement ivre au volant. Je connais ma petite fille, elle est très curieuse. Elle a sans doute penché la tête hors des rangs, et fut frappé à la tête par l'aile droite de l'auto, et l'homme prit la fuite, sans s'arrêter.
Les journaux d'alors, en première page, déclarèrent qu'une jeune fille avait été tuée par un homme ivre au volant avec délit de fuite et qu'on était à la recherche des parents.
Finalement, la police nous localisa après deux jours de recherches actives.
La police trouva dans sa petite main une statuette de St-Christophe pour l'auto de sa maman et aussi des images (saintes) illustrant 4 jeunes filles, de différente grandeur en adoration devant Jésus-Hostie sur l'autel. Au dos de l'image, il y avait ces mots, écrits de sa main, et je l'écris tel quel : « Papa je vous envoi une belle petite image. Papa je en vois sa parce que je nait pas eu le temp parce que sa ma prit du temp à choisir ».

Entre temps, j'ai beaucoup prié pour savoir si ma petite fille était au ciel, et je suppliais le Seigneur de m'envoyer un signe…

Six mois plus tard, à la mi-janvier 58, on avait un peu fêté avec un cousin de mon épouse, et on revenait à la maison, marchant lentement sur le trottoir enneigé. Il me vint une idée, je dis à mon épouse « On prend le taxi pour le fun » Elle répond OK !
Il faut vous dire que l'on ne prend JAMAIS le taxi… mais on fêtait.

Tout à coup vint un taxi et on lui fait signe. Il s'arrête et on embarque.
Ça faisait quelques instants que nous étions en route, lorsque le chauffeur nous dit qu'il n'était pas très habitué dans les rues de Montréal, et nous dit que son travail l'été se faisait dans les Laurentides…. puis, sans que nous lui demandions, il nous dit : « Ah ! il faut que je vous raconte… l'été dernier j'allais mener un prêtre voir son père, malade à l'hôpital. Alors, passant devant le médecin, le prêtre me dit : Arrête ici, je vais prendre des nouvelles de mon père. Il débarque et entrant chez le médecin, il voit qu'une toute jeune fille est mourante. Le prêtre avait une montre à double couvercle et dans l'une, il y avait une hostie consacrée qu'il destinait à son père. L'enfant vivait encore et il donna la communion à la petite fille, avant son dernier soupir. »

Ainsi, Dieu dans sa grande miséricorde avait permis à ma petite Louise de recevoir les derniers sacrements avant de rendre son dernier soupir…

Nous, dans le taxi ont était tout tremblant d'émotion. On quitta le taxi, le cœur rempli de joie. Le chaufeur était-il un Ange ? … pour moi c'est un gros OUI !

En juin de la même année, j'assistais avec Jean Ravary, ami intime d'Emilien Tardif, à une messe à l'occasion de la fête des pères. On était environ une dizaine d'hommes, faisant le tour de l'autel… moi, je me trouvais au beau milieu, en avant, face au prêtre. Jetant mon regard sur l'autel, je vois une lettre, entrouverte légèrement, aucun nom sur l'enveloppe. Je la prends, je l'ouvre et c'est écrit : « Bonne Fête Papa ! » Ma petite au ciel me souhaite une heureuse fête des pères. Merci Louise de ce dernier bonjour de ta part. ALLELUIA !

Voilà mon témoignage au sujet des Anges… et j'y crois à mon Ange Gardien !

31 juillet 2002.
Guy Lafrenière (Laval, Qc.)


Témoignage de Guillaume


J'aimerais moi aussi vous faire part de ce signe qui m'est parvenu voilà quelques semaines.

Je venais d'acheter le livre réédité de Pierre Jovanovic, "Enquête sur l'existence des Anges gardiens", à la seule boutique portant sur le sujet à Paris (La boutique des Anges, 2 rue Yvonne Le Tac, 75018).
Je suis allé lire sur les marches du Sacré-Cœur, endroit que j'affectionne particulièrement.
Après quelques pages, je me suis arrêté, longuement, regardant le lointain, me demandant si moi aussi, j'avais le mien, qui était là, à veiller sur moi. A ce même instant, une dame distinguée, d'une quarantaine d'années, monte les escaliers, passe à côté de moi, pose sa main sur mon épaule, et sans s'arrêter, me dit "Les Anges gardiens existent bien"...
Je précise qu'elle ne pouvait pas voir la couverture du livre, celui-ci étant posé sur mes genoux...
Voilà, c'était un signe, parmi d'autres...

Cordialement,
Guillaume Desmonts (Paris).
Printemps 2003.
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